Qui n’aime pas écouter de la musique ? Que ce soit dans les transports en communs, en voiture, à la maison ou en rue, tout est bon pour s’y changer les idées. Pour beaucoup de gens, la musique est vue comme apaisante et permet de s’évader.
Des études ont déjà certifié que la musique était bénéfique pour le cerveau. Elle peut, par exemple, apaiser un état de stress. La musique intervient aussi dans la sécrétion de dopamine, l’hormone du plaisir. En fonction du contexte, la musique peut jouer en faveur des effets neurophysiologiques, cardiovasculaires et respiratoires. La liste des bienfaits de la musique sur l’être humain est assez longue mais ce qu’il faut retenir c’est la faculté, lors d’une activité musicale, d’être plus résistant aux attaques cérébrales ou psychologiques. Mais qu’en est-il de la musique électronique ? Permet-elle de stimuler davantage le cerveau que dans les autres genres musicaux ?
La musique électronique est très vaste. Techno, house, deep-house, psytrance, acid, etc. Elle contient une richesse de genre et sous-genre permettant de varier les plaisirs. Les amateurs de cette musique ressentent souvent du bien-être associé aux effets psychomoteurs (la pensée ou les fonctions cérébrales). Mais pourquoi ? Tout simplement parce que souvent dépourvue de paroles, on va se focaliser davantage sur les sons produits par la musique en elle-même comme les basses par exemple. Ces musiques ont la particularité d’être fréquemment répétitives, ce qui provoque un état de transe. Cet état second provoqué va libérer de la dopamine et nous rendra désireux de bouger. Lorsque la musique a une connotation douce et calme avec peu d’instruments, l’adrénaline présente en nous aura comme impact de diminuer pour faire place à la relaxation. Par contre, lorsque le son est fort, intense comme avec la techno, notre taux d’adrénaline va monter en flèche. C’est pourquoi ce style musical donne souvent envie de danser, se dépenser car le corps est approvisionné en énergie via les stimuli positifs transmis au cerveau. Bien que souvent relié au monde de la nuit, il n’y a pas qu’en boîte de nuit ou en rave party qu’on puisse mettre à profit notre énergie. Certains écoutent de la musique électronique pour être plus performant au travail. Les basses bien lourdes et les différents plaisirs sonores donnent du tonus, nous encouragent à aller de l‘avant et améliore la productivité au travail.
Il y a donc un double enjeu dans la musique électronique. Elle relaxe et stimule en même temps. Si cette combinaison est possible, c’est parce qu’il y a association entre des moments répétitifs, permettant d’être calme, qui vont être mélangés à des tensions, moments plus dynamiques où généralement le son deviendra plus fort, plus intense (qu’on appelle « drop » dans le jargon). Ainsi, le son fait figure de berceuse, permettant d’être transporté dans un autre monde délivré de toute crainte. Cet état de bien être remonte jusqu’à la communauté, chacun se trouve en symbiose avec la musique. Un peu à l’image des sociétés primitives lors de rites ancestraux, ce côté répétitif de la musique nous met dans un état second en quelque sorte.
Enfin, il y a la question des réelles drogues. Il n’est pas rare d’entendre la musique électronique associée à ce vice. Bien évidemment, la consommation peut accentuer des effets, rendre le sentiment de confort à un état extrême. Pourtant, il peut très bien jouer l’inverse en perturbant la sécrétion de neuromédiateurs (neurones agissant sur un autre neurone de manière chimique). En pratique, on peut être confronté à de la psychose ou des troubles de la mémoire. La musique est déjà une drogue en soi, il est donc tout à fait possible de se contenter simplement de cela et en puiser tous les bienfaits nécessaires.
Il y a en définitive un caractère psychologique fort que reflète la musique électronique. Tout comme la méditation, la musique électronique dans sa manière à la possibilité de stimuler le cerveau via les ondes positives qui y sont influées. Comme les chants tibétains spirituels, la musique électronique joue un rôle protecteur. Y atteindre un état de pleine conscience est l’objectif en allant chercher la libération spirituelle, cet état de bien être absolu.
Le nouvel EP de The Void Project est disponible depuis peu !
Il met en scène @Alexandre Guisson (A.G), fondateur du label The Void Project qui partage l’affiche avec @Ilyes et @Kompo sur quatre morceaux.
Ilyes, artiste parisien du label Increase the groove, figure sur la face A du vinyle avec ses deux titres Axel and his drunk cat et I met a cosmic girl. Le premier titre sonne très doux, léger et joyeux alors que le second, comme son nom l’indique, relève de l’ordre de l’espace avec une mélodie plus dynamique à l’ambiance futuriste.
Sur la face B du disque se trouve A.G et Kompo qui s’unit sur les deux morceaux restants. Transylvania express est un morceau à saveur house qui groove en surfant sur une douce vague d’acide. Enfin, Space Travel est littéralement un voyage dans l’espace, une mélodie douce qui devient de plus en plus musclée avec des sons robotisés qui renvoient à une œuvre interstellaire.
Cet EP de plus de 28 minutes mélange donc douceur et dynamisme dans un univers spatial rendant la production originale du point de vue artistique. Ce voyage dans l’espace va clairement vous permettre de vous évader !
Pour se le procurer, cliquez ici